Répondez aux questions basées sur les renseignements (information) dans le tableau—un résumé des voyages de Simon. Écrivez des phrases complètes.
Combien de voyages a-t-il fait entre 2006 et 2018?
Simon (Il) a fait six voyages (entre 2006 et 2018).
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Qu’est-ce qui menace l’amour de ce couple?
Lisez le texte suivant, puis répondez aux questions en vous servant des informations contenues dans le texte. Entre lui et elle, il y avait toujours l’argent Ils ne cessaient d’y penser, même dans leur vie affective. Quand ils étaient un peu riches, quand ils avaient un peu d’argent de côté, ils étaient heureux, leur amour semblait indestructible. Rien ne limitait leur affection réciproque, pas de contraintes, pas de problèmes. Leurs goûts, leur imagination, leurs inventions, leurs appétits, leur liberté, ils partageaient tout. Mais ces moments étaient privilégiés et rares. Le plus souvent, il fallait lutter, et dès que l’un faiblissait, il y avait un affrontement. Cela dépendait souvent d’un rien: cent euros gaspillés, une paire de bas, une vaisselle pas faite, une sortie annulée… Alors pendant de longues heures, quelquefois pendant des journées entières, ils ne se parlaient plus. Ils mangeaient l’un en face de l’autre, rapidement, sans se regarder. Ils passaient leurs soirées assis chacun sur un coin du divan en se tournant le dos à moitié, l’un jouant aux cartes, l’autre absorbé dans un livre ou un journal. Entre eux, il y avait toujours l’argent. C’était un mur contre lequel ils s’affrontaient à chaque instant. C’était pire que la pauvreté. Pendant les temps de conflits, l’atmosphère devenait anonyme, froide, presque hostile. a. les disputes à propos de leur liberté individuelle b. une certaine forme de pauvreté c. le chômage de l’un des membres du couple d. l’incapacité à être d’accord sur leurs loisirs
Jeanne et Eric regardent une photo…
Jeanne a passé les vacances d’été chez la grand-mère de son amie Isabelle. Elle montre des photos de ses vacances à son petit ami, Eric. Ecoutez la conversation et répondez aux questions en français. Vous allez entendre la conversation deux fois. Jeanne montre des photos à son ami Eric. Une photo d’une grande maison l’intéresse en particulier. ERIC: Ouah! C’est beau, ça! C’est un musée? JEANNE: Non, c’est la maison de campagne de la grand-mère de mon amie Isabelle. Elle est située dans un petit village qui s’appelle Voray, qui est tout près de Besançon. ERIC: Ce serait formidable d’avoir une maison comme ça. La grand-mère y invite les autres membres de la famille? JEANNE: Bien sûr. Dans un certain sens, cette maison est le cœur de la famille. Cette dame a eu sept enfants, et elle a maintenant 19 petits-enfants et 12 arrière-petits-enfants. Isabelle me raconte que quand elle était petite, toutes les familles passaient au moins une partie de leurs vacances d’été à Voray. Les cousins faisaient du vélo, jouaient au tennis et faisaient des promenades à la campagne. Ils faisaient du théâtre aussi. Les grands écrivaient de petites pièces de théâtre, et tous les enfants avaient un rôle, même les plus petits cousins. Le soir, ils les jouaient pour les adultes. C’était très rigolo. ERIC: Mais les adultes, eux, ne faisaient pas de théâtre? JEANNE: Non. Ils se reposaient plutôt dans le jardin! Les hommes jouaient aux cartes et parlaient de politique. Les femmes échangeaient des vêtements qui étaient trop petits pour leurs propres enfants, et elles planifiaient les repas, bien sûr... Avec tous les gens qu’il y avait, ce n’était pas évident—une fois quand j’y ai dîné avec Isabelle, on était 30 à table! ERIC: C’est impressionnant, ça! Mais une grande maison comme ça, ça doit être cher à chauffer. La grand-mère, elle fermait la maison en automne? JEANNE: Non, non. La maison était très solide et bien chauffée. La famille y fête toujours le Nouvel An. Je ne l’ai jamais vue, mais Isabelle me raconte qu’il y a des lampions partout—la maison ressemble à un château enchanté. On y fait un réveillon, et on danse et boit du champagne jusqu’à minuit. Même les plus petits enfants ont la permission de veiller jusqu’à minuit. Il faut plus d’une demi-heure juste pour embrasser tout le monde! ERIC: C’est charmant. JEANNE: Comme tu dis. Et cette maison a une importance particulière pour Isabelle. Elle s’est mariée à Voray, au centre du village. Après, tout le monde est rentré à la maison pour une fête de noces vraiment splendide. Tous les amis d’Isabelle et Bruno étaient là, et ils leur ont offert un cadeau collectif—un canoë! Comme il y a une petite rivière juste derrière la maison, ils l’ont essayé tout de suite. J’ai une photo très rigolote d’Isabelle—toujours dans sa robe de mariée—dans le canoë. ERIC: Ils ont vraiment de la chance d’avoir cette maison, tu sais? JEANNE: C’est vrai. Mais il faut les féliciter aussi de faire l’effort de passer du temps ensemble. Ils ont vraiment l’esprit de famille. ____ d’un musée ____ d’une maison de campagne ____ de la grand-mère d’Isabelle
Il superlativo irregolare. Alice e Serena continuano la loro conversazione. Sostituisci le espressioni in corsivo con quelle indicate. Fai attenzione ai cambiamenti necessari.
migliore/i / peggiore/i / ottimo / pessimo / maggiore / il massimo / il minimo / il peggio / il meglio La parte più bella del viaggio è stata il tempo passato al mare. _______________ del viaggio è stato il tempo passato al mare.
"Death of a Salesman"--Arthur Miller When Biff says "I know he's a fake and he doesn't like anyone around who knows," what does he know about Willy that the other characters don't know?
A. That Willy has never recognized his family's love for him B. That Willy is only an average salesman C. That Willy has had an affair with a woman in Boston D. That Willy has ignored Biff's petty thievery